Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 09:54
Cela aurait pu s'appeler la saga de Joe Patroni. Qui est Joe Patroni ? Le seul personnage commun à la série des films catastrophes "Airport"...

Mais qui est Joe Patronni ? Arthur Hailey s'est vraissemblablement en fait inspiré d'un personnage ayant réellement existé, qui se nommait Roy Davis, fumait lui aussi le cigare, était chef de la maintenance de la TWA à Chicago et dut, plus d'une fois donc, faire face aux mêmes genres de situations que notre "héros"...



Airport (1970), réalisé par George Seaton (USA) avec Burt Lancaster (Mel Bakersfeld), , Dean Martin (Commandant Vernon Demerset), Jacqueline Bisset (Gwen Meighen), JeanSeberg (Tanya Livingston), George Kennedy (Joe Patroni), Helen Hayes (Madame Quonsett), Van Helfin (Guerrero), Maureen Stapleton (mme Guerrero), Barry Nelson (Commandant Aaron Harris), Lloyd Nolan (Standish), Barbara Hale (Sarah Demerset), Patty Poulen (Joan). Il y a des journées avec et des journées sans. Cette fois ci, pour Mel Bakersfeld, qui s'occupe de la sécurité de l'aéroport Lincoln, de Chicago, ce sera une journée sans... Une tempète de neige s'est abbattue sur la région ce qui paralyse en partie le traffic aérien et va l'empecher de se rendre avec sa femme à une soirée mondaine. Sur qu'elle va faire la gueule... On a découvert ensuite qu'une certaine madame Quossett,  femme d'un certain age aux revenus plus que modestes, a profité de son minois innofensif pour voyager gratos sur l'avion qui vient de décoller pour Rome. Avion que pilote Vernom Demerest, le beau-frère de Mel, qui vient d'apprendre par Gwen, l'hotesse de l'air, qu'elle est enceinte de lui. Ce qui risque de n epas plaire à sa femme non plus... Tandis que pendant ce temps la, un certain Guerrero tente de faire exploser une bombe, afin que sa veuve touche l'assurance vie qu'il vient de contracter. Y'a des jours comme ça ... ou on ferait mieux rester couché!


Bon, à part une rencontre, plus qu'improbable, avec le Titanic, on ne voit pas quelle catastrophe aurait échappéé aux scénaristes...La météo est mauvaise, un avion bloque la piste principale, une passagère clandestine a embarqué, un type se fait sauter avec une bombe dans les toilettes, l'hotesse de l'air est défigurée, les passagers n'arrètent pas de gueuler, l'avion attérit en catastrophe sur une piste ennneigée, et la femme de Burt Lancaster menace à chaque instant de divorcer car il s'occupe plus de ses avions que d'elle...Mais ou vont-ils chercher tout cela? Dans le roman d'un ancien pilote de la R.A.F, un certain Arthur Hailey, reconvertit en auteur à succès et scénariste, qui lança ainsi sans le savoir la mode des films de "catastrophes aériennes". Le film rapporta plusieurs centaines de milliers de dolars à ses producteurs et l'actrice Helen Hayes remporta même l'oscar du meilleur second rôle féminin pour son interprétation du personnage de la petite vieille, passagère clandestine, qui va permettre de sauver in extremis l'appareil et ses pasagers d'une mort atroce. Pourtant on avait pas lésiné, pour une fois, sur la distribution: Dean Martin aux commandes de l'avion, Burt Lancaster à celles de l'aéroport, le premier secondé par Jacqueline Bisset, le second par Jean Seberg. Van Hesling jouait "la bombe humaine". Et George Kennedy interprétait Joe Patronni, le seul personnage (et acteur) commun avec les "3 suites" officielles.

Airport 75 (747 en péril),1975, réalisé par Jack Smight avec Charlton Heston (Alan Murdock), Karen Black (Nancy Pryor) ,George Kennedy (Joe Patroni), Efrem Zimbalist Jr. (Commandant Stacy),, Gloria Swanson (Gloria Swanson), Mirna Loy (Mrs Devaney), Roy Thinnes (copilote), Erik Estrada (Julio), Dana Andrews (Scott Freeman), Sid Caesar (Barney), Linda Blair (Janice Abbott), Martha Scott (Soeur Béatrice), Helen Reddy (Sister Ruth), Guy Stockwell (Colonel Moss) ,Jerry Stiller (Sam), Nancy Olson (Mrs. Abbott),Susan Clark (Mrs. Patroni). Comme chaque jour, ce 747 s'apprétait à faire un voyage tranquille de Washington à Los Angeles. A son bord, une star de cinéma et sa secrétaire, une gamine que l'on doit opérer d'urgence, sa mère, deux footballeurs, une bande de congressiste passablement éméchés, un acteur raté et une alcoolique (presque) repentie, une bonne soeur qui se prend pour Julie Andrews se prenant pour Soeur Sourrire, bref rien que de l'ordinnaire... Et qui plus est la femme du vice-président de la compagnie et son rejeton. Malheureusement le destin (et les scénaristes hiollywoodiens) en avait décidé autrement. Voila qu'un riche homme d'affaire pilotant son petit avion privé se tape une crise cardiaque en plein vol et ce qui ne devait jamais arriver, arriva: son petit avion rencontra le pare-brise du 747, ce qui à plus de 10.000 pieds d'altitude occasionne quelques désagréments. Outre le fait que le second pilote soit sortit précipatement, et involontairement par le cockpit, que le commandant soit devenu aveugle, que les passagers hurlent plus que de raison et que la charmante hotesse de l'air chargé de reprendre les commandes n'a pas son brevet de pîlotage et louche plus que de raison, voila t'y pas que l'on a confié la mission de sauvetage de l'appareil à.... Charlton Heston ! Après avoir fait déborder la mer rouge avec ses "Dix commandements", bousillé son char dans "Ben-Hur", écrasé sa fusée sur "La planète des singes", Charlton arrivera t'il à sauver quand même ce 747 en péril?

"Airport 75" est la première suite officielle de "Aiport", mais à part le fait de parler d'avion les deux films n'ont plus grand chose en commun, mis à part le personnage de Jo Patronni (toujours joué par George Kennedy) qui a pris du galon, puisqu'il est devennu désormais vice-président de la compagnie aérienne "Colombia", dont la femme et le fils voyagent malheureusement à bord de ce foutu avion. En fait, si le scénario, d'après le générique, est tiré du livre d'Arthur Hailey, beaucoup d'idées on été reprises dans d'autres films, comme celle de l'hotesse de l'air pilotant l'avion (voir "Without orders" de Lew Landers en 1936) ou l'idée des deux avions se percutant comme dans  "Alerte en plein ciel" , 1960, ou Dana Andrews et Efrem Zimablist (qui jouent dans "Airport 75" aussi) jouaient respectivement le rôle de l'autre, à savoir le premier jouant un pilote de ligne régulière, le second le pilote de l'avion lui rentrant dedans.... j'espère que vous goutez à sa juste valeur la saveur de l'anecdote ! On a cependant repris l'idée de faire jouer tout un tas de Stars et de vedettes moins connues. Ainsi Charlton Heston et George Kennedy ont le privilège de jouer avec Mirna Loy et Gloria Swanson (deux célèbrissimes "Stars" de l'époque du muet), Dana Andrews (star des années 40/50) et cotoient Karen Black (égérie de la new beat génération des  acteurs), Roy Thinnes ("Les envahisseurs"), Linda Blair ("L'exorciste") et Erik Estrada (la série télévisée "Chips"). A noter que le rôle de Gloria Swanson (son dernier d'ailleurs), fut pressenti au départ pour Greta Garbo (qui refusa tout net, malgré la promesse d'un salaire colossal). Si l'on survole sans s'arréter certains détails qui semblent être farfelus (un avion, petit, rentrant dans le cockpit d'un 747 devrait à mon avis plus de dégats que décoiffer l'hotesse de l'air...,et concernant le personnage de Linda Blair, qui attend une  greffe de rein, il me semble qu'en général on fait voyager l'organe pas le malade), le film se laisse agréablement regarder, avec son lot d'émotion, de suspense, de terreur et fait partie des Top 10 des films catastrophes genre "Tremblement de terre" (toujours avec Heston, il porte pas la poisse celuiu-là) et "La tour infernale".


Airport 77, (Les naufragés du 747), 1977, réalisé par Jerry Jameson (USA) avec Jack Lemmon (Commandant. Don Gallagher), Olivia de Havilland (Emily Livingston), Joseph Cotten (Nicholas St. Downs III), Lee Grant (Karen Wallace), George Kennedy (Joe Patroni), James Stewart (Philip Stevens), Christopher Lee (Martin Wallace), Brenda Vaccaro (Eve Clayton). Pour transporter ses tableaux les plus précieux de Washington à sa nouvelle résidence-muséée, située à Palm-Beach,  le riche collectionneur américain, Philip Stevens, organise, à bord de son Boeing 747 privé, une petite fiesta privée à laquelle malheureusement (ou heureusement?) pour lui, il ne peut participer. Une dizaine d'invités triés sur le volet prennent place à bord de l'avion, dans lequel se sont aussi introduits deux malfaiteurs qui sont sous les ordres  d'un certain Chambers, qui n'est autre que le co-pilote et qui sont là pour voler la précieuse cargaison. Alors que l'appareil survole le Triangle des Bermudes, les trois bandits se rendent maitres de l'appareil en endormant les passagers et le commandant de bord à l'aide d'un gaz soporifique. Mais Chambers, qui navigue à basse altitude pour échapper aux radars, est surpris par le brouillard et l'avion heurte une plate-forme de forage avant de s'abimer dans l'océan. L'avion git désormais au fond de l'eau. En équilibre précaire au bord d'une immense crevasse. Problême: comme l'avion a dévié de sa route initiale, les secours vont'ils réussir à les retrouver avant que Lee Grant ait fini sa crise de nerfs, que l'avion ne soit à cours d'oxygène, ou qu'il ne sombre au fond de la crevasse?

2è suite, ayant encore moins de rapport avec le roman initial de Arthur Hailey. Cette fois-ci la saga prend l'eau (c'est le cas de le dire) et coule bien profond. Et pour cause. Les scénaristes (peu avares de sensations fortes) après avoir essayer de bruler de vieilles stars Hollywoodiennes sur le retour comme Fred Astaire et Jennifer Jones dans "La tour infernale", de les écraser sous des tonnes de rochers, comme Ava Gardner dans "Tremblement de terre",  ou de les exploser en  l'air comme Gloria Swanson et Mirna Loy dans "Airport 75",  ont décidé de les noyer! 
 lancées C'est donc Joseph Cotten et Olivia de Havilland qui vont essayer de sauver leur brushing, contre des tonnes de flotte lancées par des accessoiristes goguenards. Christopher Lee, qui craignait déja l'eau dans "Dracula", Jack Lemmon (qui comme certains l'aiment chaude) et Lee Grant, connu pour son role de Stella dans "Peyton Place" sont aussi de la partie. L'ayant senti venir avec ses rhumatismes, James Stewart se contentera de rester au sol, tout comme George Kennedy qui reprend le role de Joe Patronni pour la 3è fois. Cette fois-ci il a retrogradé puisqu'il n'est plus que chef des secours...  Quel dommage qu'il n'ait pu être scénariste, il aurait pu peut être ainsi éviter les ENOOOOORRRMMMMEEES inepties du script. Tout d'abord l'amerissage de l'avion. Qui en se posant sur l'eau la queue la premiere aurait normalement peu de chances d'en réchapper. Et au cas ou le fuselage de l'avion ait résister, ce dernier, même avec des avaries dans ses soutes, a toutes les chances de flotter. La pressurisation n'étant plus assurée par les moteurs, ceux-ci une fois noyés ne pourraient plus par contre assurer la préssurisation grace à l'aide de l'air extérieur, puisqu'il n'y en aurait plus... donc... CRASH!!!!. Comme en plus, les scénaristes sont mauvais en géographie, ils font passer l'avion au dessus du Triangle des Bermudes, très prisé au cinéma mais pas forcément le chemin le plus court quand on vient de Whashington pour aller en Floride... mais bon, on ne chipotera pas !

De toute façon, ce n'est pas à cause de forces mystérieuses et d'Aliens déchainés que l'avion se plante, mais à cause du brouillard, tout bêtement, donc le fameux triangle des Bermudes tombe ici comme un cheveu dans la soupe... Comme le reste du film qui décidément nage en eaux troubles...



Airport 79, the Concorde ,  (Airport 80 concorde), 1979, réalisé par David Lowell-Rich (Usa) avec Alain Delon (Commandant Paul Metrand) , Sylvia Kristel (Isabelle), George Kennedy (Commandant Joe Patroni), Eddie Albert (Elie Sands), David Warner (Peter O’Neil), Bibi Anderson (Francine), Robert Wagner (Kevin Harrison), Susan Blakely (Maggie Whelan), Charo (Margarita), John Davidson (Robert Palmer), Andréa Marcovicci (Alicia Rogov). Le fabricant d'armes Kevin Harrison a un big problème. Sa petite amie Maggie Wheelan a découvert qu'il a livré des missiles antiaériens aux soviétiques. Et comme elle est journaliste, elle risque de tout révéler au monde entier. Seul solution: la supprimer. Comme la tentative d'assassinat menée contre elle à Washington a échouée, Harrisson n'a plus qu'une solution: faire sauter le Concorde dans lequel sa maitresse a pris place pour se rendre à Moscou, via Paris, à l'aide d'un de ses missiles. Mais Harrisson n'avait pas prévu une petite chose: c'est qu'Alain Delon qui piloterait le concorde...

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, le Commandant Alain Delon et son équipage sont heureux de vous souhaiter la bienvenue à bord du Concorde, en partance pour  deux bonnes heures de grosse rigolade et d'invraissemblances en tout genre... Nous vous confirmons que le film n'a (presque) plus rien à voir avec le roman de Arthur Hailey, si ce n'est que le sieur Joe Patroni (toujours joué par George Kennedy), a cette fois-ci repris du galon et après avoir été chef de la sécurité dans le premier film, vice président d'une compagnie aérienne dans le second, puis chef des opérations de sauvetage dans le troisème, sera finalement commandant de bord si vous acceptez sans sourciller le fait qu'en 2 ans il ait pu avoir son brevet de pilote de ligne, et le nombre d'heures de vol requises pour avoir le droit de piloter un Concorde supersonnique (mais après tout on est au cinéma...!). Après Jacqueline Bisset et Karen Black, c'est à la belle Sylvia Kristel que revient l'honneur d'être l'hotesse de l'air en chef (et donc la maitresse du commandant de bord, à savoir ici Alain Delon). Malheureusement pour nous, notre belle hotesse ne nous refera pas la fameuse scène d'Emanuelle". David Warner sera quand à lui le troisième larron de la cabine de pilota (et qu'il vienne pas se plaindre, car il finira le voyage en entier, lui, contrairement à tous les autres seconds passés avant lui!). Parmi les passager nous aurons notre lot habituel de tout et n'importe quoi. Le président de la ligne (Eddie Albert) et sa jeune épouse de 90 ans de moins que lui, un musicien de Jazz complètement stone, une jeune championne Olympique Russe et un journaliste qui n'arrete pas de lui faire du rentre dedans (même quand l'avion n'est pas tête en bas), une gamine sourde et muette, une mère transportant le nouveau coeur de son fils que l'on doit opérer à Paris, une dame ayant des problèmes de vessie et évidement la journaliste que l'on veut à tout pris empécher de divulguer un dossier compromettant pour quelques marchands d'armes véreux... Parmi les grandes scènes farfelues du film, nous citerons: les nombreux loopings éffectués par le Concorde, qui voulant faire sa Star, se prend pour un jet supersonnique. On vole en plein mirage! Pour ne pas être en reste, Gorges Kennedy (afin de leurrer un missile à tête chercheuse qui leur colle aux basques et menace de les faire sauter) fait se retourner le Concorde et ouvre sa fenêtre passe son bras au dehors et lance une fusée éclairante destinée à détourner le missile. A Mach2, moi je naurais jamais premierement d'ouvrir une fenetre dans l'avion, deuxiement, passer mon bras dehors de peur de me le faire arracher par la pression de l'air. Mais bon, c'est vrai que George il est (encore) plus costaud que moi... Comme il est aladroit, en plus, il fait exploser une des deux fusées qu'il lance dans le cockit de l'appareil. Ouf! personne ne sera blessé...malgré les nombreux ricochets de la fusée! On félicitera les accessoiristes qui ont gréffés des yeux à l'arrière des têtes de Delon et Kennedy. Sinon comment verraient'ils les missiles qui leur collent au train? A moins qu'il n'y ait des retroviseurs à l'extérieur du Concorde? Chapeau encore à l'équipe d'entretien et de révision du Concorde de Paris. Après avoir essuyé les tirs de plusieurs missiles, subit plusieurs dépressurisations, ut l'avion mis sens dessous dessous, voila qu'au bout de 24h à peine, il peut redécoller de Paris pour Moscou. Avec les mêmes passagers, qui ne sont pas  maso faut croire... Le pompom revient quand même à Eddie Albert dans la dernière partie du film, celle ou la porte de la soute, sabotée, s'ouvre en plein vol,  causant des dégats dans la partie inférieure de l'avion. Alors qu'un trou dans le plancher vient de se faire, Albert voit son siège s'arracher précipitament, le précipitant ainsi vers le vide. Il arrive quand même à bloquer son siège à la seule force de ses bras et de ses jambes et tenir ainsi pendant un bon quart d'heure avant que George Kennedy ne viennent lui donner un coup de main pour s'en sortir! Pour finir en beauté, Alain Delon arrivera même à poser l'avion au sommet des alpes, sur une piste de fortunes faite par des secouristes se trouvant par hasard au bon endroit, et sortir tout le monde sain et sauf avant que la carcasse déglinguée du Concorde n'explose, enfin!, sinon les scénaristes auraient encore pu très bien le faire voler pendant deux heures de plus, avec d'autres rebondissements spectaculaires à la clef. D'après ce que j'ai lu sur Internet, le Concorde utilisé dans le film était celui qui explosa malheureusement lors de son décollage à Roissy le 25 juillet 2000. Comme quoi, la fiction rejoint souvent la réalité...

Il existe plusieurs DVD de ces films.
Soit chacun à l'unité

soit un coffret réunissant les 3 premiers

soit un coffret les réunissant tous les 4

Partager cet article
Repost0

commentaires

B
Mon cher Djordi, je me permes de mettre se commentaire car tu as mis une petite erreur sur "Airport'80 Le Concorde" tu as écrit que l'un des titre était "S.O.S Concorde" et bien en vérité le titre "S.O.S Concorde" et le titre d'un film catastrophe Italien réalisé par Rugero DEODATO avant la sortit de"Airport'80" avec dans les rôles principale: James FRANCISCUS, Mimsy FARMER, Joseph COTEN,Van JOHNSON et Edmun PURDOM.Et pour les critique il est mieux que "Airport'80" car l'histoire et plus une enquette policiére
Répondre

Présentation

  • : Le blog de djordj
  • : Un blog consacré au cinéma de série B
  • Contact

Recherche

Liens