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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 12:00


L’Uomo, l’orgolio, la vendetta (L’Homme, l’orgueil et la vengeance), 1968, réalisé par Luigi Bazzoni, (Italie), avec Franco Nero (José), Tina Aumont (Carmen), Klaus Kinski (Lieutenant Miguel Garcia), Guido Lollobrigida (Tanquiero), Franco Ressel (le Capitaine), Karl Schonbock (le diplomate anglais), Alberto Dell’Acqua (Remendado), Marcella Valeri (Dorothea).  José Navarro s’est fait rétrograder car il a laissé volontairement s’échapper la belle Carmen, qui avait été emprisonnée suite à une rixe dans la manufacture de tabac ou elle travallait. Il va la retrouver, déguisée en gitane, lors d’une fête foraine. Il devient alors son amant. Malheureusement pour lui, Carmen n’est pas une femme fidèle et très vite elle va le tromper avec le supérieur de José, le lieutenant Garcia. Don José va alors provoquer en duel son rival et s'enfuir dans les montagnes ou il retrouvera un groupe d'amis devenus bandidos...


Carmen
version western Spaghetti, il fallait oser le faire !!! Malheureusement, ce western a, comme qui dirait, du plomb dans l'aile...contrairement au scénariste qui, en s'inspirant librement de la nouvelle de Prosper Mérimée aurait mieux fait d'en avoir un peu dans la tête.. .Car en fait ce western n'est en rien ... un western et c'est la que le bât blesse. Certes, il y a de magnifiques paysages, tournés à Alméria, là ou ont été tournés la pluspart des westerns européen. Certes il y a une attaque de dilligence, quelques scènes de duels au pistolet et même un très beau combat au couteau avec une caméra subjective, mais soyons honnête, toute la première partie du film est chiante à mourir... Beaucoup de bla-bla-bla (ce qui dans un western la fout mal!!!) et peu d'action. Franco Nero est à flinguer dans son interprétation de "Caliméro Django" (d'ailleurs pour mieux le vendre aux allemand, les distributeurs ont fait croire que c'etait une suite de Django dou le titre allemand!!!) et Tina Aumont, d'habitude si sobre - à la limite de l'inexistante-  dans son jeu d'actrice, cabotine à donf comme si c'était la le rôle de sa vie. Il faut donc attendre l'arrivée de Klaus Kinski, encore plus déjanté qu'a son habitude mais qui malheureusement n'a pas un role très important, pour qu'enfin le film commence à s'énnerver un peu

Le film est sortit en DVD

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